Kendal ! « (...) you can’t deny: Dumbledore’s got style.»

Kendal Vaughn Worthwood

âge : vingt et un ans ϟ naissance : le 27/11/1962 à Birmingham (ANGLETERRE) ϟ nationalité : anglaise ϟ sang : mêlé.ϟ classe sociale : pauvreϟ opinion politique : résistante ϟ statut : célibataire ϟ sexualité : .hétérosexuelle ϟ particularité : n/a ϟ patronus : un chien ϟ épouvantard : son frère adrian ϟ baguette magique : bois de saule, 20 cm, contient un crin de licorne ϟ qualités : courageuse, volontaire, maline ϟ défauts : désagréable, menteuse, fière ϟ année/maison : cinquième année à Gryffondor

‛forward to time past

☞ Comment votre personnage a subi l'Alakazam (pour les garçons) ou le Tri natal (pour les filles)

Fort heureusement, Kendal Vaughn peut se targuer de ne pas avoir subi le tri natal : son année de naissance et son sexe aidant, jamais sa vie n'a été menacée d'une quelconque manière. Cependant, et puisqu'il n'existe jamais aucun happy end, Adrian son frère-aîné-chéri ─ lui ─ s'en est allé, la faute à l'alakazam. Pourtant, il était un modèle, un leader, un aîné aimant et dévoué, toujours prêt à se plier en quatre pour sa fratrie. C'était bien trop beau pour durer. Et quatre ans plus tard, voilà ce qu'il est devenu, un tueur sanguinaire, un méchant, un vrai con, un monstre de haine qui se maudit d'être né dans cette famille au sang si impie. Mais qu'est-ce qu'ils y peuvent , eux, ses frères et soeurs, qui subissent ses sévices chaque seconde de chaque minute de chaque heure de la journée ? Rien. Absolument rien. Mais ainsi va la vie et les voilà qui regardent sans broncher, impuissants. A leur tour maintenant de bouillir de rage, de nourrir de la colère envers ce système qui leur a enlevé leur frère, qui a décimé leur famille ! Seraient-ce les prémices d'une vengeance fatale ?

☞ Ce que votre personnage pense de Margh R. Máedóc , Directrice de Poudlard et mangemorte notoire

Comme une envie de tout briser et une haine qui perdurera éternellement. C'est tragique, abominable, honteux, incroyable, impensable, crétin, nul, intolérable. Voilà ce qu'elle en pense. Poudlard sombre inlassablement, c'est la déchéance, mais la fête du côté mangemort. Et voilà que ne pas porter l'insigne Serpentard à sa cape est une honte, et regardez ce que sont devenus les rouges, les bourreaux de ces messieurs et de cette madame la directrice. L'intolérance est le maître mot, eh bien bravo je vous félicite. Encore un peu et des cadavres de Gryffondor seront allègrement piétinés par les verts. Ainsi va l'école, dirigée par une malade mentale ! Et voyez comme ses mignons petits pions prennent un malin plaisir à faire mal pour aucune raison. Un ring géant ? Ah oui.

☞ Le dernier souvenir que conserve votre personnage quant à Dumbledore

. Jamais vu, jamais parlé. Juste qu'apparemment, lorsqu'il est parti, Mrs Worthwood a "pleuré beaucoup". Elle était triste de voir l'un de ses héros s'en aller comme ça, "C'était notre seule chance !" balbutiait-elle entre deux pleurs. C'était "complètement horrible" et "ça fendait le coeur deux". Mais bon c'est comme ça, il a fui, il a abandonné les siens, ceux qui le soutenaient. C'est bête et lâche. Si lui nous a quitté, qui d'autre pourrait bien espérer vaincre ce régime de mangemorts tortionnaires ? Sur ces quelques mots réside toute la question de l'avenir du monde sorcier et des pauvres au sang mêlé, comme Kendal par exemple. Ça ne s'annonce pas joyeux mais peut-être, lors d'un ultime combat, Dumbledore reviendra-t-il ? Aucune idée. Pour le moment, contentons-nous de prier chaque soir au pied de nos lits afin qu'un miracle se produise. Sur ce, la messe et dite & les paris sont lancés. À vous !

‛a window to the past

SBAM, ils ont explosée la porte comme ça, sans prévenir. C'est comme ça que ça a commencé, alors que les six chérubins Worthwood, enfoncés dans le canapé, croquaient dans des céréales et riaient aux éclats devant un dessin animé. Mrs, dans la cuisine, sortait tout juste un fondant au chocolat du four tandis que son mari humait la délicate odeur qu'il en dégageait. Mais ce choc, ce bruit assourdissant, ces deux mangemorts infiltré dans la maison familiale, c'était le début des ennuis. Ni une ni deux, ils se sont violemment emparés d'Adrian, il s'est débattu mais, il était encore tout petit, que pouvait-il contre ces hommes ? Donc il a hurlé et là Mrs Worthwood est arrivée, elle comprenait ce qui se passait et alors qu'elle était prête à faire volte-face pour reprendre son enfant son mari l'a rattrapé par la manche in extremis. Et donc là, c'était "cuit". Adrian est parti et plus personne n'a bougé ni même parlé, éberlué. C'est Kendal qui a ouvert le bal des pleurs, d'un coup d'un seul elle s'est mise à hurler,comme si on la démembrait, comme si une douleur atroce la transperçait. Elle n'avait que six ans, mais déjà elle avait compris qu'on lui avait volé son frère. Et ensuite chacun s'en est allé à pleurer sauf le "papa". Lui qui avait empêché sa femme de s'interposer devait se montrer fort, bien qu'au fond il était triste comme une pierre.

***

«Mais ouvrez-moi ces rideaux ! Faites quelque chose nom de dieu !» S'exclama Mrs Worthwood tout en ouvrant les fenêtres pour faire entrer la lumière du jour dans la pièce. Ses cinq enfants,une fois de plus étaient résignés à ne rien faire de la journée, se contentant de regarder la télé tout en avalant machinalement quelques sucreries. Le coeur n'y était plus, l'envie non plus. Pour tout dire ils ne faisaient que végéter, on les aurait presque crus morts. Désespérée, la matriarche renchérit «Regardez-moi ce soleil ! Allez jouer, amusez-vous dans le jardin !». Sans doute ne s'attendait-elle pas à ce qui allait suivre. Tous les enfants se mirent à pleurer à chaudes larmes à l'exception de Kendal qui bégaya «On...On peut pas jouer...» Sa voix s'était brisée en mille morceaux et elle n'avait pu finir sa phrase. Le ton employé était teintée d'une triste mélancolie qui bouleversait. Elle se mit à son tour à pleurer et tandis que les larmes roulaient sur ses joues roses, Mrs Worthwood assistait ahurie au spectacle. Devant l'incompréhension de sa mère, Kendal prit une bouffée d'air et entre deux sanglots elle reprit « Avant on faisait deux équipes de trois, mais maintenant... Maintenant qu'Adrian est plus là, on peut plus...» Et elle se remit à pleurer, les souvenirs des moments de bonheur passés avec son aîné remontant.

***

Le retour d'Adrian, par les enfants Worthwood.
Quand Adrian est enfin revenu il n'était plus comme avant. Il était blessé de partout, on avait peine à reconnaître sa bouille d'ange d'antan à travers toutes ces cicatrices. Il avait beaucoup grandi depuis et il avait l'air fort pour son âge. Pourtant lorsqu'il nous avait quitté il était assez frêle, pas très sportif, il préférait regarder les dessins animés toute la journée, il rigolait beaucoup et il adorait les fondants au chocolat. En fait on adorait tous ça. Mais il n'était plus comme ça maintenant, c'était révolu. Et puis même au-delà de son apparence physique, intérieurement un changement avait été opéré de fond en comble. Il était devenu méchant. Quand on invitait des amis à la maison il les toisait, pire que ça même, on aurait dit qu'il avait envie de les taper. En fait, c'est parce qu'ils étaient moldus. Et puis même avec nous il était mauvais, dès qu'on faisait un truc de travers il s'empressait d'aller le répéter, il nous imposait une discipline de fer et quand papa et maman n'étaient pas là il nous frappait et ça, ça faisait fichtrement mal ! On ne le considérait plus comme notre frère, on essuyait ses coups sans rien dire, on était victimes des pires bassesses possibles. Alors quand il a enfin reçu sa lettre pour Poudlard, on avait l'impression de commencer une nouvelle vie, qu'est-ce que c'était bien. Mais, notre vrai frère nous manquait et on préférait l'imaginer mort plutôt que de se dire que ce tortionnaire avait des liens de sang avec nous.

***

« Mais laissez-moi ! » Hurla Kendal. Tous ces verts qui lui tournaient autour en la narguant, c’en était bien trop pour elle. Ce n’était encore qu’une gamine qui entrait dans sa première année à l’école. Elle avait toujours été protégée par sa famille là-bas à Birmingham mais ici c’était différent, elle était tout simplement seule. D’un revers, elle essuya son nez qui coulait abondement. « Ton frère serait pas content de te voir chialer comme ça » Ricana l’un du groupe. Il était gros et blond, laid. Voilà donc à quoi ressemblaient les amis de son prétendu frère… Kendal secoua la tête et s’enfuit en courant, le visage rouge, les yeux embués, le nez pris. Depuis qu’elle était arrivée sa vie avait été un enfer sans bornes, sans amis ni repères elle était perdue dans ce monde qui ne lui appartenait que trop peu. Elle bouillonnait de rage, elle était âpre et morose, de moins en moins sociable et ouverte. Kendal n’était que le bourreau de ces messieurs. Pourtant elle subissait sans jamais ne rien dire, c'était presque devenu banal de se faire violenter.

***

Sa troisième année passée, Kendal s’était métamorphosée. Bien trop souvent torturée et moquée, elle était bien décidée à en découdre avec ce passé qui lui collait à la peau. Son frère avait enfin terminé ses études et c’était une délivrance soudaine. Elle se sentait bien, plus du tout apeurée par qui que ce soit, elle se posait elle-même en véritable terreur. Une envie de revanche sur tous les extrémistes qui lui avaient fait du mal l’enivrait toute entière alors elle n’hésitait pas à frapper fort, à vociférer des insultes. Elle n’avait plus honte de rien et toutes ces années où on lui avait fait violence lui avait permis d’élaborer quelques stratagèmes des plus judicieux. Il était hors de question que quelqu’un lui marche sur les pieds, c’était une véritable furie. D’ailleurs elle avait même tendance à s’énerver pour rien. On lui reprochait aussi son côté trop téméraire, combien de fois s’était-elle retrouvée dans le bureau d’un professeur, combien de fois avait-elle dépassé les limites ? On ne comptait plus ses nombreux dérapages. Tant pis, elle rattrapait le temps perdu.
Elle avait un penchant pour les fêtes, elle s’amusait autant qu’elle le pouvait, en gardant toujours en ligne de mire l’élimination de ses plus grands ennemis. D’ailleurs, Kendal avait beaucoup plus d’ennemis que d’amis. Elle n’était pas très agréable, pas très bavarde mais bien trop rancunière et persuasive. On ne lui faisait pas confiance, elle ne tenait pas ses promesses et elle jurait sur « la tête de son frère » à chaque occasion. C’était une menteuse invétérée, on ne pouvait plus démêler le vrai du faux et peut-être même qu’elle aussi avait parfois du mal.

***

«Franchement Kendal, tu veux la vérité ?» Kendal haussa les épaules d'un air las et désinvolte à souhait. Elle n'en avait rien à faire de sa vérité à deux balles, en fait elle s'en tamponnait comme de l'an 40. Ni une ni deux, sa furie d'interlocutrice reprit «Eh bien j'ai plus envie d'être ton amie ! T'es même pas reconnaissante de tout ce que j'ai fait. D'une ingratitude... Et puis même ! Tu...» Kendal leva son doigt à la manière d'une élève devant un professeur, pour l'interrompre. Elle ne réprima pas son sourire narquois et, d'un ton doucereux, elle rétorqua « Tout ce que tu as fait...? Ginnie, est-ce qu'une seule fois je t'ai demandé de faire quoi que ce soit ?» La fille en question ne répondit plus rien et sa bouche ouverte en un o témoignait de son étonnement. Peut-être réalisait-elle que Kendal l'avait manipulée ? Ou peut-être se rendait-elle compte qu'elles n'avaient jamais été amies ? Quoi qu'il en soit le choc était grand, la déception encore plus. Ginnie tourna les talons et disparut sans demander son reste. Peu scrupuleuse, Kendal retourna à sa lecture comme si rien ne s'était passé.

***

« Kendal Vaughn Worthwood, votre devoir est d'une médiocrité... Vous avez la note minimale mais, croyez-moi, s'il en existait une inférieure, je vous l'aurais mise !» La dénommée ne posa pas même un oeil sur le rouleau de parchemin qu'on lui rendait. C'était son lot quotidien, trop occupée à batifoler à droite et à gauche, à se battre, à en venir aux mains ou à souhaiter la mort de ses camarades mangemorts, Kendal en oubliait parfois les cours. Oui il fallait l'avouer son bulletin n'était pas reluisant, elle n'honorait pas souvent les professeurs de sa présence, mais peu lui importait, tant qu'elle avait la santé... Ses relations avec le corps enseignant n'étaient pas des plus simples, elle était même la tête de turc, le bourreau, celle qu'on prend plaisir à châtier. Elle avouait être un peu blasée de tout cela et les heures de retenue qui s'accumulaient ne lui procuraient plus aucune sensation à son grand dam. Pire encore, les devoirs qu'elle rendait lui valaient toujours les notes les plus inférieures,mais elle en faisait si peu qu'elle en avait presque oublié la façon de tenir une plume...

Spoiler:

**pnj** ϟ Messages : 9 ϟ Avatar : Tilda Swinton ϟ Inscription : 12/06/2012

Dommage !

Je suis désolée mais ta fiche ne peut être validée en l'état. Plusieurs choses m'empêchent de te valider. Elles sont les suivantes :

ϟ La ponctuation :

ϟ La tournure des phrases :

ϟ Les fautes :

ϟ La syntaxe :

Je note aussi que toute l'histoire est rédigée à la troisième personne sauf le 3ème paragraphe. Il faut revoir cela. En gros, je pense donc que la fiche a besoin d'être relue pour être validée. Des ajouts sont aussi nécessaires puisque le personne n'est pas assez développé.

Ta fiche doit donc être modifiée avant que l'on puisse pouvoir te valider.
Courage et n'hésite pas à contacter le staff en cas de question ! :oui:

**pnj** ϟ Messages : 9 ϟ Avatar : Tilda Swinton ϟ Inscription : 12/06/2012

Félicitations !

Ce qui a été indiqué plus haut semble avoir été corrigé. Aussi, je n'ai rien à ajouter ! Tu es donc validée !

Pour faire une bonne arrivée, je te conseille de (re)lire les annexes ; t'inscrire à quelques intrigues en cours ; compléter les relations de ton personnage en créant des scénarii ; te renseigner sur le système des cagnottes.

Plus important encore, il te faudra t'ajouter aux différentes listes du Rapeltout et créer tes gestionnaires de relations et de role play. Et, pour finir, le flood c'est par ici !

Bon jeu à toi ! :coeur2:

Merci beaucoup ! (:

» Dumbledore & l'Ordre du Phénix

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